Industrie pharmaceutique

Industrie pharmaceutique

Dans le secteur pharmaceutique, Carrefour d’Hygiène a conscience de la nécessité de règles sanitaires très strictes et d'une tolérance zéro envers les nuisibles.

Notre système de lutte intégrée contre les nuisibles permet aux entreprises pharmaceutiques de respecter les bonnes pratiques de fabrication et de rester conformes aux exigences en matière d'audit. Vous évitez ainsi tout impact négatif sur votre activité, ou autre atteinte à la réputation et à la marque, occasionné par une infraction aux normes d'hygiène ou un quelconque litige.

Nos experts vous proposent les meilleures solutions du secteur pour la prévention des nuisibles, la surveillance des infestations et le traitement sécurisé de toute présence de nuisibles : insectes volants, insectes rampants, rongeurs et insectes des produits stockés.

 

Nos experts emploient aussi bien des méthodes conventionnelles que de nouvelles techniques (Pulvérisation,
Brumisation, Fumigation…) Des traitements fongicides et bactéricides en entrepôts alimentaires et chambres frigorifiques.

Carrefour d’hygiène accorde une attention toute particulière aux besoins et aux attentes de ses clients. Des offres sur mesure sont élaborées en collaboration avec vous pour vous proposer le meilleur service possible et vous débarrasser rapidement de votre problème d'insectes.

 

Nos experts emploient aussi bien des méthodes conventionnelles que de nouvelles techniques (Pulvérisation,
Brumisation, Fumigation…) Des traitements fongicides et bactéricides en entrepôts alimentaires et chambres frigorifiques.

Carrefour d’hygiène accorde une attention toute particulière aux besoins et aux attentes de ses clients. Des offres sur mesure sont élaborées en collaboration avec vous pour vous proposer le meilleur service possible et vous débarrasser rapidement de votre problème d'insectes.

Les normes imposées sont particulièrement strictes afin de garantir la qualité et l'efficacité des produits.
Les conséquences d'une infestation de nuisibles peuvent être très sérieuses pour une entreprise :
• Atteinte à la réputation et à la marque ;
• Pertes financières selon les matières premières et produits finis contaminés, et suite aux arrêts de production ;
• Perte de confiance ;
• Diminution des commandes, des clients et du chiffre d'affaires ;
• Demandes d'indemnisation ;
• Actions en justice menées par les autorités réglementaires et sanitaires.
Le système de lutte intégrée contre les nuisibles (IPM) est un composant essentiel des bonnes pratiques de
fabrication et permet de garantir des normes élevées d'assainissement. Un programme IPM développe les pratiques
les plus appropriées pour surveiller, empêcher et éliminer les infestations de nuisibles, tout en respectant les
exigences spécifiques de l'entreprise cliente.
Les décennies d'expérience de Carrefour d’Hygiène avec des milliers de clients nous ont donné une expertise et un
aperçu unique de la lutte anti-nuisibles dans le secteur pharmaceutique. Basée sur notre expérience de gestion des
infestations de nuisibles dans ce secteur, voici une liste des principaux fléaux des entreprises pharmaceutiques :
• Les insectes volants ;
• Les insectes rampants ;
• Les rongeurs ;
• Les oiseaux ;
• Les insectes des produits stockés

En fonction de l'environnement de l'usine, des matériaux utilisés attirant les insectes, et des conditions
potentielles de reproduction, un certain nombre d'espèces de mouches peuvent être présentes près des sites de
production.
Les insectes volants pouvant infester un établissement et compromettre des zones propres sont les suivants :
• Les mouches domestiques (Musca domestica) ;
• Les mouches à fruits (espèce des Drosophila) ;
• Les mouches à viande (Calliphora vomitoria) ;
• Les psychodidae (famille des Psychodidae) ;

*Les polénies du lombric (espèce des Pollenia) ;
• Les Sarcophagidae (famille des Sarcophagidae).

On estime que les insectes volants peuvent véhiculer plus de 100 pathogènes humains, dont les salmonelles, la Campylobacter, E. coli, la Cryptosporidium, des vers parasitaires et des champignons. Ils se nourrissent de matières fécales, de déchets, de matières en décomposition ainsi que de produits alimentaires stockés.

Ils se déplacent entre les sources de nourriture contaminées et les zones propres, transportant la saleté sur leurs corps ainsi que les micro-organismes pathogènes qu'ils ont ingérés. Les insectes comme les mouches domestiques régurgitent des jus digestifs et défèquent lorsqu'ils se nourrissent et se reposent. Ils contaminent ainsi la nourriture et les surfaces avec des micro-organismes pathogènes et de décomposition.
Dans la lutte anti-nuisibles, il est important d'identifier les espèces de mouches présentes, car chacune est
attirée par des substances différentes et se reproduit différemment.
• Chaque espèce de mouche est attirée par différents produits alimentaires : les sucres en fermentation, les huiles et
graisses, les hydrates de carbone, ainsi que les protéines et matières végétales en décomposition.
• Les mouches à fruits sont attirées par les liquides sucrés en fermentation dans lesquels elles peuvent se nourrir et se reproduire en petites quantités, comme dans les poubelles, les canalisations et les vieilles bouteilles de boisson vides.
• Les psychodidae sont attirées par la nourriture en décomposition, les eaux usées et d'autres résidus de matières
organiques. Elles pondent des oeufs dans les déchets organiques, ceux-ci peuvent ensuite se développer dans les canalisations ou les eaux peu profondes polluées. Elles peuvent se reproduire dans les films biologiques gélatineux qui se forment en surface dans les canalisations et fosses septiques, et sont également résistantes aux produits
nettoyants et anti-nuisibles.

On estime que les insectes volants peuvent véhiculer plus de 100 pathogènes humains, dont les salmonelles, la Campylobacter, E. coli, la Cryptosporidium, des vers parasitaires et des champignons. Ils se nourrissent de matières fécales, de déchets, de matières en décomposition ainsi que de produits alimentaires stockés.

Ils se déplacent entre les sources de nourriture contaminées et les zones propres, transportant la saleté sur leurs corps ainsi que les micro-organismes pathogènes qu'ils ont ingérés. Les insectes comme les mouches domestiques régurgitent des jus digestifs et défèquent lorsqu'ils se nourrissent et se reposent. Ils contaminent ainsi la nourriture et les surfaces avec des micro-organismes pathogènes et de décomposition.
Dans la lutte anti-nuisibles, il est important d'identifier les espèces de mouches présentes, car chacune est
attirée par des substances différentes et se reproduit différemment.
• Chaque espèce de mouche est attirée par différents produits alimentaires : les sucres en fermentation, les huiles et graisses, les hydrates de carbone, ainsi que les protéines et matières végétales en décomposition.
• Les mouches à fruits sont attirées par les liquides sucrés en fermentation dans lesquels elles peuvent se nourrir et se reproduire en petites quantités, comme dans les poubelles, les canalisations et les vieilles bouteilles de boisson vides.
• Les psychodidae sont attirées par la nourriture en décomposition, les eaux usées et d'autres résidus de matières organiques. Elles pondent des oeufs dans les déchets organiques, ceux-ci peuvent ensuite se développer dans les canalisations ou les eaux peu profondes polluées. Elles peuvent se reproduire dans les films biologiques gélatineux qui se forment en surface dans les canalisations et fosses septiques, et sont également résistantes aux produits nettoyants et anti-nuisibles.

Pour éliminer les mouches, des pratiques d'hygiène standards sont essentielles pour diminuer les odeurs attirantes,
les matières nourrissantes et les sites de reproduction.
En voici quelques-unes :
• L’introduction de bonnes pratiques de fabrication afin de garantir des niveaux d'hygiène élevés et de maintenir
l'intégrité du processus de fabrication ;
• L’élimination régulière des déchets — au moins deux fois par semaine dans les climats les plus chauds ;
• Le nettoyage des conteneurs à déchets qui ne doivent jamais déborder et doivent être correctement refermés ;
• Le nettoyage régulier de tout l'équipement utilisé pour transporter les ordures ;
• Le volume de stockage correspondant au volume des déchets produits ;
• Le nettoyage et l'entretien des zones de stockage des déchets ;
• La propreté permanente des zones d'approvisionnement et des véhicules, où des flaques peuvent s'accumuler et
moisir ;
• Les pratiques d'hygiène appliquées aux cantines, cuisines et zones de bureau ;
• Le nettoyage des matières organiques accumulées dans les canalisations et l'usage de produits de nettoyage
appropriés.
L'élimination des mouches
• Les pièges à lampe UV et les pièges à phéromones permettent d'attraper les mouches et d'empêcher leur
reproduction. Grâce à un rayonnement UV, la gamme de destructeurs électriques d'insectes volants Lumnia de
Carrefour d’Hygiène attire les mouches sur un film adhésif qui s'enroule automatiquement pour empêcher toute
contamination d'insectes morts. Ces dispositifs sont bien plus efficaces que les pièges à mouche conventionnels.
• En fonction du type de mouche qui a infesté une installation et de la sévérité du problème, un technicien pourrait
vous recommander l'utilisation d'un leurre à mouches ou l'application de préparations liquides.

Les cafards sont les insectes rampants les plus répandus sur les sites de production.
Ils sont particulièrement problématiques en raison de leur taille idéale leur permettant de se cacher dans de petits endroits, mais également de leur alimentation variée, leur reproduction rapide et des maladies qu'ils peuvent véhiculer.

Trois espèces communes peuvent infester les installations :

La blatte germanique (Blatella germanica) : de couleur marron clair, elle mesure environ 12-15 mm de long une fois adulte. Elle préfère les conditions humides et peut infester les zones et l'équipement de production, les dépôts,
les véhicules, les bureaux et zones administratives, les cuisines et les salles de bain.
• La blatte américaine (Periplaneta americana) : d'un brun rougeâtre, c'est le plus grand cafard pouvant infester les installations, les adultes mesurent de 35 à 40 mm de long. Elle recherche des environnements chauds et humides pour survivre. On la retrouve dans les canalisations, les égouts, les sous-sols, les pièces de stockage et les zones de stockage de déchets.
• La blatte rayée (Supella longipalpa) : avec ses rayures jaune-marron sur l'abdomen et ses 10 à 15 mm de long, c'est
l'une des plus petites blattes existantes. Elle préfère les environnements chauds et humides de 27°C ou plus. Elle a donc besoin de bâtiments chauffés pour survivre dans les climats tempérés. On la retrouve près des moteurs électriques, interrupteurs et appareils électriques ainsi que dans les plafonds, greniers, cuisines et dans les endroits ou le papier est stocké. Elle préfère les aliments avec un taux d'amidon élevé et vole rarement. 

Les cafards sont nocturnes et se cachent pendant la journée. Ils sortent pendant la nuit à la recherche de nourriture et de nouveaux sites pour s'abriter. Ils se cachent dans les endroits sombres tels que les fissures, crevasses, canalisations, égouts, équipements, machines et cachettes où ils trouvent la température et l'humidité recherchées.

Ces endroits sont également difficiles à atteindre en utilisant des méthodes habituelles de nettoyage et
d'assainissement.

Maladies et allergènes : les cafards peuvent véhiculer de nombreux micro-organismes causant des maladies, dont les staphylocoques, les salmonelles, la listeria et l'E.Coli.
• De mauvaises habitudes alimentaires : les cafards se nourrissent de matières en décomposition, de moisi, de matières fécales dans les égouts (provenant des rongeurs et oiseaux) et des carcasses d'animaux. Ils peuvent ensuite transmettre ces micro-organismes aux zones de production sur leurs corps ou dans leurs excréments.
• Excrétions : ils défèquent tout au long de leur parcours et rejettent souvent de la salive sur les surfaces pour «goûter » à leur environnement.
• Flaques et odeurs : leurs fientes et sécrétions corporelles laissent des tâches et de mauvaises odeurs qui peuvent imprégner les zones infestées, les produits et les emballages.
• Parties corporelles : leurs peaux de mue et oothèques contaminent les produits et les emballages.
• Allergènes : les fientes et peaux de mue contiennent des allergènes qui peuvent déclencher des attaques d'asthme lorsque les populations sont importantes.

Maladies et allergènes : les cafards peuvent véhiculer de nombreux micro-organismes causant des maladies, dont les staphylocoques, les salmonelles, la listeria et l'E.Coli.
• De mauvaises habitudes alimentaires : les cafards se nourrissent de matières en décomposition, de moisi, de matières fécales dans les égouts (provenant des rongeurs et oiseaux) et des carcasses d'animaux. Ils peuvent ensuite transmettre ces micro-organismes aux zones de production sur leurs corps ou dans leurs excréments.
• Excrétions : ils défèquent tout au long de leur parcours et rejettent souvent de la salive sur les surfaces pour «goûter » à leur environnement.
• Flaques et odeurs : leurs fientes et sécrétions corporelles laissent des tâches et de mauvaises odeurs qui peuvent imprégner les zones infestées, les produits et les emballages.
• Parties corporelles : leurs peaux de mue et oothèques contaminent les produits et les emballages.
• Allergènes : les fientes et peaux de mue contiennent des allergènes qui peuvent déclencher des attaques d'asthme lorsque les populations sont importantes.

Retirez les déchets des zones de production, utilisez des conteneurs à déchets conçus pour empêcher l'accès aux nuisibles, situez-les loin des dépôts et de la production, videz-les et nettoyez-les fréquemment. Toutes ces mesures réduisent le risque d'infestation.
• Un bâtiment bien conçu peut empêcher les cafards d'y accéder par les espaces situés autour des tuyaux et des câbles, le système de ventilation, les moustiquaires, les fenêtres, les embrasures de portes, les égouts, et de trouver refuge dans les petits espaces tels que les boîtiers de raccordement.
• De bonnes inspections de routine de l'équipement, des bâtiments et des marchandises permettent de détecter les infestations et d'identifier les risques rapidement.

Sprays, aérosols, poudres et appâts, de nombreux traitements sont disponibles pour lutter contre les cafards. Les insecticides utilisés doivent être autorisés dans les installations pharmaceutiques et manipulés par du personnel qualifié et formé.
Carrefour d’Hygiène peut inspecter les installations, puis fournir des conseils sur les moyens de lutte adaptés, sûrs et autorisés. Nous pouvons ainsi vous proposer des méthodes d'élimination sans produit chimique, adaptées aux environnements sensibles d'une entreprise, et des unités de surveillances des insectes pour détecter le moindre signe d'activité.

Les rats et les souris représentent un risque sérieux pour les complexes pharmaceutiques. Ils peuvent en effet endommager bâtiments, installations, équipements et produits, ou contaminer les environnements très sensibles avec l'un des pathogènes qu'ils véhiculent.

Voici les risques que représentent les rats et les souris pour les installations :

• Les dommages aux bâtiments et aménagements, tout particulièrement les câbles électriques ;
• Les dommages causés aux machines provoquant des arrêts de production ;
• Les contaminations le long de leurs voies d'accès avec leurs urines, leurs excréments et la saleté

rapportée de leur environnement ;

• Les dommages causés aux conteneurs de produits et emballages ;
• La consommation des produits dans les magasins ;
• La contamination des produits, des emballages et des surfaces avec leurs excréments, urines et saletés 
• La transmission de nombreuses maladies, dont la salmonellose, la leptospirose, la toxoplasmose et la  fièvre par morsure de rat ;

• Les rongeurs peuvent véhiculer des ectoparasites comme les tiques, les puces, les poux et les mites, ils sont donc également vecteurs des maladies que ceux-ci véhiculent

Plusieurs signes permettent de détecter la présence de rats et de souris qui ont des signatures bien distinctes :

• Les excréments sont de tailles et de formes différentes pour chaque espèce ;
• La détection d'animaux vivants ou morts ;
• Les bruits : couinements, rongements, mouvements rapides ;
• Les taches le long de leurs chemins peuvent provenir de leur fourrure huileuse ;
• Les traces laissées dans la poussière ou la poudre utilisée à cet effet ;
• Les rongements des matériaux de construction, câbles, nourriture et emballages : les traces de

rongements sont distinctes ;
• Les rats et les souris laissent des taches d'urine derrière eux, détectables avec une lampe UV ;
• De petits piliers d'urine se forment dans les lieux longtemps infestés par les souris, car elles urinent plusieurs fois aux mêmes endroits.

La lutte contre les rongeurs implique l'élimination de leurs cachettes dans les bâtiments et autour de ceux-ci, mais également le blocage de tout accès à la nourriture, à l'eau et à leurs abris. Un bâtiment peut comporter de nombreux points d'accès où ces mesures peuvent être appliquées : fissures, conduits de ventilation, tuyaux, câbles, canalisations, fenêtres, moustiquaires, etc.

Toute présence de rongeurs doit être éliminée à l'aide de pièges ou de poison, en employant des pratiques
acceptables et en respectant la législation du domaine pharmaceutique.
Les rodenticides utilisés dans les installations pharmaceutiques doivent être des produits approuvés, placés dans des pièges sécurisés et situés loin des zones de production. Lorsqu'ils sont stockés sur place, les rodenticides doivent être entreposés dans de bonnes conditions empêchant toute contamination des produits et de l'environnement par le poison.

Une expertise est nécessaire pour détermine le type d'appât à utiliser, ses emplacements et sa fréquence, le régime de surveillance et la documentation. Pour cela, il vous faut faire appel à un prestataire extérieur. Si les opérations sont effectuées par le personnel de l'entreprise, celui-ci devra être certifié pour manipuler les produits chimiques et procéder à l'élimination des rongeurs.

Carrefour d’Hygiène propose une large gamme de systèmes de lutte contre les rongeurs, ils sont reconnus dans le secteur et conçus pour les industries pharmaceutiques. Nous choisissons la combinaison de dispositifs la plus appropriée selon les circonstances de chaque client afin de surveiller, signaler et éliminer les rongeurs

Les bâtiments d'une usine de production offrent des zones sûres où les oiseaux peuvent se percher et se faufiler dans les espaces, comme sous les toits. Les oiseaux nuisibles les plus fréquents sont les pigeons, les moineaux domestiques, les mouettes et les étourneaux.

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